Groupe de médecins animés par le désir de :
- prier ensemble, louer, de partager la Parole
- d’échanger sur leur exercice professionnel
- désir de partager des expériences et des témoignages de foi
- à la lumière de la foi chrétienne dans l’esprit de la charte du christ médecin
Ces fraternités, de 10 médecins maximum, se réunissent localement tous les 2 mois. Elles sont animées par des médecins membre de la Communauté de l’Emmanuel. Trouvant leur source dans le coeur brulant et aimant de Jésus, les membres des fraternités sont invités à venir se reposer et se poser sur le coeur miséricordieux de Jésus lors du rassemblement annuel de médecins à Paray-le-Monial.
Dans l’année, les fraternités de médecins peuvent vivre une démarche plus apostolique : par exemple :
- Inviter leurs confrères à découvrir les fraternité de médecins, à une conférence qu’ils organisent ou à un pèlerinage qu’ils animent.
- Mettre en place une messe pour la St Côme et St Damien ou pour la St Luc
- Inviter au rassemblement des médecins à Paray-le-Monial…
Aujourd'hui, il existent des fraternités de médecins sur :
- Angers
- Montpellier
- Nantes
- Nîmes
- Rouen
- Saint Germain en Laye
Si vous souhaitez faire partie d'une fraternité de médecins, écrivez à :
Pour mémoire
En septembre 2008 :
Les premières fraternités de médecins sont lancées pour deux ans ad experimentum
Elles reçoivent d’emblée un accueil très favorable des médecins : 14 fraternités se créent cette année-là en France et une quinzième en Autriche de manière simultanée.
Au bout, des deux ans d’essai, les retours sont très nettement positifs.
Il est décidé de poursuivre l’expérience en proposant aux fraternités de développer un projet missionnaire (ex : une soirée ouverte avec un conférencier, un pèlerinage…)
Pour diverses raisons liées aux médecins qui en avait la charge (déménagements, départs à la retraite, maladies, surcharge de travail, autre mission confiée, difficulté à trouver des participants dans certaines villes…), un bon nombre de fraternités se sont arrêtées au bout des deux à trois ans, tout en disant que l’expérience est à poursuivre dans la mesure du possible.
